MASE MEDITERRANNE GIPHISE
Aujourd’hui
Le MASE Méditerranée GIPHISE : un acteur de l’économie régionale …
ou comment l’approche sécurité induit l’efficacité des entreprises ?
Qui est membre du MASE Méditerranée GIPHISE (31/12/2016) ?
- 36 sites industriels dont 26 Seveso
- 647 entreprises intervenantes certifiées
- 131 entreprises intervenantes en cours de démarche
(La liste des membres est régulièrement actualisée sur ce site)
Quelle est l'activité du MASE MEDITERRANEE GIPHISE ?
Le MASE MEDITERRANEE GIPHISE est composé de 4 Comités :
- MASE : système de management sécurité de l’entreprise. Le Comité de Pilotage certifie les Entreprises Intervenantes, porte d’entrée au MASE MEDITERRANEE GIPHISE
- GIES : formations & certifications sécurité individuelles des intervenants
- GTIS : formations & certifications techniques spécifiques des intervenants
- GHI : hygiène industrielle
Ces comités ont une activité soutenue (ex : MASE : 12 réunions de travail d’une journée par an + sous groupes de travail) pour gérer le quotidien (certifications, suivi des résultats …) et le développement continu de la démarche.
Quel budget pour le MASE Méditerrranée GIPHISE ?
Budget annuel de 390 K€ HT, provenant des cotisations des adhérents (42% sites industriels, 46% entreprises intervenantes et 12% de ressources diverses)
Le MASE Méditerranée GIPHISE créateur de valeur
Des statistiques portant sur 50 000 personnes montrent que la mise en place du MASE dans les entreprises a permis de réduire le nombre d'accidents avec arrêt de 1 200 par an. Au coût de 3 à 5 000 E par accident avec arrêt (coût direct seul, et non le coût total qui est 3 à 5 fois plus élevé)... chaque entreprise peut faire ses comptes...
LE MASE Méditerranée GIPHISE créateur direct d'emploi : administrateurs, auditeurs et consultants … plus de 200 emplois.
Quelles perspectives pour le MASE Méditerranée GIPHISE ?
Via les efforts de gestion dans les domaines de la sécurité et de la santé et les résultats associés, les perspectives du MASE Méditerranée GIPHISE sont de consolider et pérenniser les entreprises régionales pour leur permettre de conserver leurs marchés locaux, leur donner des outils pour être plus efficaces et se développer grâce à des certifications leur permettant de concourir dans les autres régions françaises et dans les pays limitrophes. Une autre perspective est d’essaimer dans les régions du grand Sud et de fédérer d’autres établissements industriels.
Le réseau initié dans le domaine pétrolier et chimie lourde est en pleine expansion et s’étend à de nouveaux domaines suivant les régions : sidérurgie, énergie (gaz, thermique, nucléaire), chimie fine, cimenterie, agro-alimentaire, automobile, construction navale, aéronautique…
La plupart des entreprises de taille moyenne dans le domaine des services à l’industrie ont déjà rejoint la démarche et ce sont aujourd’hui des entreprises de taille plus modeste (moins de cinquante salariés) qui sont candidates.
Le potentiel ultime de la seule région PACA devrait dépasser les 1000 entreprises et concerner près de 75 000 salariés.